.:LA MAIN DE PAULINE CROZE:.

Le compte-rendu d'hier?
Ce mec (ces types et cette fille devrais je dire) défonce(nt).
Comme on dit en jargon, l'atypique Spleen, sa talentueuse singularité et The Black&White Skins (c'est le nom de son collectif) se posent là.Scotchant.
L'homme chante assis des fois, en tutu par moment.Déroutant et habité.
S'il lisait ce post, il me gratifierait sûrement d'un "C'est tout ce que t'as retenu du concert?!"..

Euh ...ben non évidemment.C'est juste que..comment rendre compte de l'inénarrable?
Plutôt que de dire des betises je prefere vous conseiller d'aller faire un tour sur son site, d'acheter son disque à défaut (les deux ça marche aussi).

Egalement à écouter absolument, la compilation qu'il a réalisé avec notamment quelques uns des membres de la très select scène anti-folk new-yorkaise (dont Devendra Banhart, Antony&The Johnsons et l'excellent Yoshi from Tokyo-voir photo ci-après).

Alors que je me perds en considérations bloguistiques, tapie dans un coin de la salle est l'inspirée Pauline Croze.

Le monde est petit:Pauline Croze?
Celle-là même qui a fait son album avec Mr Jeff (l'ingé son avec qui je travaille) et Madame Edith (l'ex-Valentins qui a participé aux arrangements d'A La Faveur De L'Automne).Celle-là même dont le contrebassiste-Antoine, joue avec les FancyFullMoon (et Carla Bruni aussi-tss quelle piplette quand même ce Féfé).

Celle-la même enfin-'Du mal à garder le fil moi,qui joue le 26 juin prochain au Bato Phare.
Bref, stupéfait, je n'ai pu m'empêcher de prendre la main de la demoiselle, le temps d'un instantané.Et voilà.